Suivez le guide...

mercredi 28 novembre 2012

le Grand Blanc 2009, Domaine Henri Milan, un grand en devenir ?



Encore un vin des plus atypiques qui bouscule nos certitudes, encore un plaisir à découvert, encore une surprise à travers verre, ce Grand Blanc, s’il n’est pas alsacien, n’en est pas moins de France.

Un mélange de cépages uniques, empruntant au sérieux de Bourgogne, aux douceurs de Beaumes-de-Venise, aux accents et rondeurs sudistes de la Côte de Provence et un peu, beaucoup à la Vallée du Rhône dans ce qu’elle a de plus intense.

Le vin se révèle d’une couleur assez soutenue au démarrage, avec  un nez d’une puissance immense et une bouche tendue, forte en gueule. A vrai dire, à ce stade, il  est presque violent dans son expression. 


La laitance (de carpe, avec des escargots), ça n’est pas sale !





Pourtant ne passons pas par quatre chemins : c’est tout de même le sperme d’un poisson moche que l’on nous demande de manger là ! Faut-il vraiment avoir confiance dans son chef pour se laisser tenter…mais bon, s’il nous dit que c’est bon, nous on est comme ça, on y va !


vendredi 23 novembre 2012

Meiselocker, la nouvelle winstub des copains

Une nouvelle winstub à Strasbourg… comme s’il n’y en avait pas déjà assez se disent ceux qui ont un avis sur tout et ceux qui ont surtout un avis. Seulement celle-là c’est la première créée de toute pièce depuis plus de 40 ans, ça suffit donc pour me titiller l’envie de goûter.

Puis c’est l’occase de se changer les habitudes et de voir ce que Cédric Moulot, ce serial-restaurateur, souhaite encore nous vendre comme adresse. Il faut dire qu’il ne se trompe pas beaucoup à première vue cet homme, je vous parlerai de sa grande adresse quand l’estomac m’en dira, mais là, c’est sur un coup de tête et entre copin(e)s gourmandin(e)s que l’on se retrouve dans sa dernière création : une winstub à Strasbourg !



Incroyable comme, sans rien inventer il trouve le juste chemin entre tradi et rajeuni.  Pas forcément dans la décoration de sa salle, presque sobre pour l’exercice mais quand même bien marquée ; pas non plus dans les intitulés des plats que fleurent bon la stub. 
Non c’est dans tout le reste que le ton est ajusté à notre temps avec intelligence et talent, avec un très bon et fort joli service, filles comme garçons et une carte des vins tout bonnement affriolante.


mardi 20 novembre 2012

Moment-épicurien à l'Auberge St Laurent, à Sierentz, juste en photos

Pour ceux qui souhaitent plus de détails et ne peuvent se passer de textes, je vous invite à vous rendre sur le Blog des Etoiles d'Alsace, ou directement vers l'article du compte-rendu en suivant ce lien ICI.












Oeuf de poule de la ferme du « Wolfgarta »
le jaune juste mariné, le blanc croustillant, petits légumes croque – fondants

jeudi 15 novembre 2012

Le boeuf, dans ce qu'il a de meilleur, d'ici et d'ailleurs

Côte de boeuf, Aubrac, 60jrs de maturation


On est tous fous de cette bête, de sa viande, on en mange beaucoup trop, et trop souvent d’une qualité très moyenne. Et dire qu’il y a sur notre territoire des éleveurs et des bouchers formidables, qui sélectionnent sur pieds, des races d’exception, directement à la ferme ; et quand on pense qu’il y a des restaurateurs qui nous choisissent quelques morceaux fabuleux, provenant  du village d’à côté ou de l’autre bout du monde et qui les magnifient, alors on se demande bien qu’est-ce qu’on attend pour en manger moins, pour en manger mieux ?

Pour les envies subites de grandeurs, faites confiance aux meilleurs, car OUI le bœuf aussi peut être immense, subtil, puissant et long en bouche, on en a simplement oublié le goût. Personnellement je me suis fait une petite cure de bombe la semaine dernière et j’ai, avec l’aide de quelques fines gueules de mes amis, testé pour vous les viandes du désormais mythique Bourdonnec, en comparaison sur deux bêtes bien d’chez nous, ainsi qu’un morceau de hampe de bœuf Wagyu N°5, élevé en Australie, dégusté sur une table étoilée.





Le boeuf Wagyu N°5, Hampe grillée au feu de bois, Façon Rossini


lundi 12 novembre 2012

Sur le chemin des grands crus d'Alsace, à la fin de l'automne

Quand l’année s’épuise et avant que la Nature ne s’endorme paisiblement on doit reprendre le chemin des grands crus alsaciens, pour nous rapprocher du terroir certes, mais avant tout parce que c’est beau pour la santé.


lundi 5 novembre 2012

Moment-épicurien, à la Maison Ferber, juste en photos


Pour ceux qui souhaitent plus de détails et ne peuvent se passer de textes, je vous invite à vous rendre sur le Blog des Etoiles d'Alsace, ou directement vers l'article du compte-rendu en suivant ce lien ICI.







Crédit photo: Christine HART




Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...