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mercredi 29 mai 2013

Des beaux Bordeaux oui, mais des Bordeaux d'amis

C'est pas que le Pétrus ou autre Moutonrgauxfite Rothschild nous dérangent, par contre leurs prix à 4 chiffres si !!!
Alors, et parce qu'on ne peut pas laisser totalement tomber les Bordeaux, ne serait-ce que pour accompagner une très belle viande rouge (retrouvez le Boeuf, dans ce qu'il a de meilleur, en lien ICI), ou pour quelques fêtes de fin d'année ou d'anniversaire majeurs, il convient d'en chercher qui soit encore dans nos cordes.

Et il y en a, la preuve sur ce blog, où j'ai déjà évoqué l'une ou l'autre de ces petites et grandes étiquettes qui vont bien, font bien et qui gardent une bonne partie de toutes les qualités recherchées.

On peut se rappeler de ce "Générique 2005" assez incroyable, signé du Domaine de Cambes, un "petit frère", sélectionné dans un millésime formidablement complet et dégusté en été 2012 qui suit :

"...Le nez s'élance sur l'herbacée, sur la fraise très évoluée, très "sang de boeuf" ; en bouche s'il est encore un peu trop sur le boisé à mon goût, il reste assez intense au départ et s'évanouit doucement sur une idée de sirop d'olive et de cerise noire, avec une pointe d'amertume finale..."

(Pour plus d'informations et de tentations, retrouvez l'article complet en lien ICI)




Et pour aller plus loin, plus haut et plus beau, on peut aussi choisir un petit millésime d'un grand vigneron hors-mode et hors des circuits de "l'internationale richissime", comme ce Châteaux Bel Air Marquis d'Aligre 2001, un vin découvert en avril 2012 et décrit ainsi :

"...c’est surtout sa robe rouge-margaux, jeune, avec ses reflets pourpres qui nous séduit ; c’est surtout ce nez qui psalmodie des notes de graphite et de cèpes de vigne brûlés qui persuade, cette bouche satinée et aux accents de prune et de tabac qui nous emporte. 
Et avec un peu de patience (4h pour ma part) on verra arriver un nez de terres chaudes mêlé à une purée de fruits rouge et une bouche toujours fraîche, sans fard ni gras superflu, d’une pureté rafraîchissante..."

(Pour plus d'informations et de tentations, retrouvez l'article complet en lien ICI)


vendredi 24 mai 2013

Corsica epicurean trip, gastronomy and beaches, in english please

Good job and translation by Webflakes !


"You can find it all here: views to light up your retinas, recreation areas that will instantly make you forget yourself, and, above all, Nustrale pork, fish, wines, meats, and tasty, to-die-for shellfisheven if, or perhaps especially because, they are especially challenging to find.
So, yours truly has conscientiously done you the favor of searching for them in all the island’s most important epicurean spots."

Read more HERE.




"Where can one find Maldivian colors and Polynesian flavorsOn some Corsican beaches, for sure. A lavish lifestyle is to be had there as well!
All around the island are hidden sandpits and inaccessible coves. I have no intention of telling you about those, but I absolutely have toshow off three magnificent, epicurean beaches."

Read more HERE.

mercredi 22 mai 2013

Un moment épicurien passé au Parc, à Obernai, juste en photo

Pour celles et ceux qui souhaitent plus de détails sur cet hôtel et ces quelques plats du "Menu Printemps" du Parc****, à Obernai, et pour celles et ceux ne peuvent se passer de textes, je vous invite à vous rendre sur le Blog des Etoiles d'Alsace, ou directement vers l'article du compte-rendu épicurien de l'hôtel en suivant ce lien ICI ou sur celui de La Table en suivant ce lien LA.












jeudi 16 mai 2013

Le remède contre grosse dépri'météo: un Paris-Brest selon Alexandre Faix

Avec ce temps de chien on a le choix entre déprimer et compenser…Alors choisi ton camp camarade ! Personnellement j’ai choisi depuis longtemps et en ce moment, je me replonge à l’envie dans ce Paris-Brest d’anthologie, selon Alexandre Faix.

Ce dessert fabuleux, il m’a donné le sourire en novembre dernier quand je l’ai découvert à la table du chef Schwartz, à Obernai. Cette recette il la tenait d’A.Faix lui-même, qu’il a rencontré à Megève, au Domaine du Mont d’Arbois.


Ce dessert d’antan que j’aime tant est annoncé « allégé », en tout cas il ne perd absolument rien en gourmandise, bien au contraire, car il apporte de la délicatesse dans la douceur.

On attaque le voile de sucre translucide, en guise de pré-dessert, du dos de la cuillère ; on prend son temps car on sait qu’une fois plongé dans la pâtisserie, on n’arrivera sans doute plus à s’arrêter.


Et c’est le cas, avec cette pâte à choux croustillante et dorée au possible, car plus ramassée,  avec ce qu’il faut de moelleux sous la croûte. Mais c’est surtout cet appareil praliné d’une texture parfaite, entre crème chantilly épaisse et mousse aérée, qui rend ce dessert inoubliable.

Cet abus de douceur est le parfait remède pour oublier le temps qu’il fait, et même jusqu’à la plus petite des contrariétés, alors vous-aussi, au lieu de déprimer, laissez-vous tenter !  

mardi 14 mai 2013

Un extrait de la carte du restaurant Au Vieux Couvent (Rhinau), juste en photos

Pour celles et ceux qui souhaitent plus de détails sur ces quelques plats extraits de la carte signé Alexis Albrecht du restaurant Au Vieux Couvent, à Rhinau, et pour celles et ceux ne peuvent se passer de textes, je vous invite à vous rendre sur le Blog des Etoiles d'Alsace, ou directement vers l'article du compte-rendu épicurien en suivant ce lien ICI.
  






Le tartare de bœuf, fausse moutarde à la cardamine des prés
Valse d'herbes et fleurs sauvages et de notre culture prunelles comme des olives 


jeudi 9 mai 2013

Les morilles fraîches de Jean-Paul Jeunet, version avril 2013, grandeur et frustration

Autant l’avouer tout de suite, cette entrée fût en même temps une des plus belles dégustées ces derniers mois et une des plus frustrante aussi...je vais vous expliquer pourquoi.

Il y a quelques semaines, j’effectuais mon passage annuel et obligatoire à la table du doux sorcier jurassien, Jean-Paul Jeunet.  Comme à l’accoutumé et grâce à son site internet impeccablement mis à jour, je passe m’ouvrir l’appétit durant les jours précédents sur sa carte et je tombe sur une proposition immanquable pour tous les fous’d’food : les premières morilles fraîches !!!

 Celles-ci sont fourrées au foie gras, accompagnées de poitrine de porc confite et d’une quenelle de champignons posée sur quelques palets de rutabaga….ça parle non ? Dès l’arrivée je suis un peu déçu par la quantité de champignons et ravi par l’assiette, puis, très rapidement cela se confirme : c’est terriblement bon, voir jouissif !


mardi 7 mai 2013

Three stars Michelin in Megève, The Flocon de Sel by E.Renaut, Spring Report

Great job and translation by webflakes ! Tast it !

"A beautiful week of epicurean tranquility in the Jura and Savoie was drawing to a close; at the end of the road was Flocons de Sel, which I absolutely had to get a taste of for my own pleasure, of course, but also so that I could share the experience with you..."

Read all HERE


vendredi 3 mai 2013

Vins de Savoie: Belluard-Magnin-Grisard, mais aussi les autres...

Vous avez raison, on commence à le savoir que je suis parti en Savoie, mais avec ce que j’y ai goûté vous n’avez pas fini d’en saliver. On a déjà évoqué le haut du panier gastronomique, maintenant on va passer aux vins les plus passionnants de la région.

Une première étape obligatoire pour tout amateur-professionnel, dont on rabat les yeux et oreilles avec Belluard depuis quelques années, c’est de savoir insister pour être reçu chez eux, à Ayse. Cela permet de se confronter au paysage et au climat dont on a peut de mal à envisager le côté original. Et que dire de cette technique de vinification…
Alors,  quand en plus une famille lui impose le cépage Gringet, sans doute là déjà avant notre ère et dont pourtant il ne reste plus que 22ha, on touche forcément au passionnant.


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